NOS ENGAGEMENTS
Chez VIOLET, nous pensons et concevons les produits afin de minimiser leurs impacts sur l’environnement. La première initiative fut d’opter pour une forme solide. En plus d’être en adéquation avec ses prédécesseurs, les savons solides sont moins polluants que leurs collègues liquides. On évite, par exemple, l’utilisation d’emballage plastique superflu et néfaste pour l’environnement. Nos pains sont parfaitement protégés par un papier sourcé durablement, recyclable et certifié FSC.
Pour rappel, chaque année en France, 186 millions de flacons de gel douche sont vendus. Il est éstimé selon l'ADEME qu'en incluant les shampoings, ils génèrent 16 000 tonnes d'emballages par an, dont seuls 40% seront recyclés.
De plus, la surexploitation de l’huile de palme étant dévastatrice pour l’environnement, nous avons privilégié les huiles de coprah et de tournesol pour composer la base du savon.
Enfin nous nous entourons d’acteurs locaux. Situé en Lorraine, notre façonneur se fournit en huile de tournesol provenant de champs français. Un tel choix permet de réduire sensiblement l’empreinte carbone liée au transport.
UNE SAVONNERIE HISTORIQUE
Avant le parfum, la réputation de la parfumerie Violet s'était d'abord forgée avec un autre produit ; le savon.
En 1828 VIOLET et GUENOT, deux associés basés à Paris déposèrent un brevet pour un nouveau type de cosmétique : un savon à la thridace. Ce terme intimidant qualifie pourtant un composant naturel : le SUC DE LAITUE. Aujourd'hui, Violet renoue avec ses origines et vous propose la réinterprétation d'une icône qui a fait la renommée de la Maison.
« Le savon est un des produits les plus importants de la Parfumerie. Aussi la Maison Violet, dont tous les produits de ce genre ont une réputation universelle en France et à l'étranger, ne cesse d’apporter tous ses soins à leur préparation comme à leur perfectionnement. »
Le Charivari, 8 novembre 1879